La Mer de Glace, au printemps. Un chocard à bec jaune semble se poser sur le sommet des Grandes Jorasses, un des sommets mythique du massif.
Un « petit » éboulement (100 m3, soit 8 camions semi-remorque pleins) s’est produit dans le Massif de la Chartreuse, Julien part observer la falaise, analyser les fragilités de la roche et faire une étude pour sécuriser le terrain.
Le permafrost se réchauffe et la Mer de glace fond, rendant les parois rocheuses de plus en plus fragiles. Julien vient prendre des mesures et observer les zones instables. Il faut envisager les probabilités d’évolution de ce terrain qui s’altère d’années en années, le surveiller de près.
L’effondrement spectaculaire des Drus (plus de 260 000 m3) est lié au réchauffement climatique. Il illustre la fragilité des plus hauts sommets et la dégradation du permafrost.
Sur le terrain, selon la situation et la dangerosité de l’éboulement, il faut soit descendre sur corde, soit utiliser un drone ou parfois prendre un hélicoptère.
Réunion préparatoire avant le départ d’Héloïse et Lambert sur le glacier de l’Aiguille Rouge.
Julien travaille sur une carte géologique avec les notes qu’il a prises sur le terrain, à la Mer de Glace.
Julien vient prendre la mesure d’un éboulement de 300 m3 (cela représente 25 camions-semi-remorque pleins), à la Rampe des Commères, dans l’Oisans.
L’éboulement s’est ajouté à d’autres, plus anciens ce qui, finalement, produit un immense pierrier de gros blocs de pierre instables.
Héloïse et Lambert, à l’aube. Après plusieurs heures de route, ils arrivent à la station des Arcs. De là , ils doivent monter à 3200 mètres d’altitude, sur le glacier de l’Aiguille Rouge.
Les deux géologues mesurent le glacier.
Ils vérifient les données transmises par le radar, un appareil qui scanne la profondeur des sols.
Héloîse finit sa journée de travail, au milieu du glacier. Elle porte l’ordinateur qui contient toutes les données prises depuis le matin et une antenne GPS.